La dernière sélection du Goncourt avant la remise le 4 novembre prochain.
Lectures de Dany
Recensions de mes lectures, actualités littéraires et autres dérives littéraires
7 octobre 2025
29 août 2025
Le temps des sucres - Martine Desjardins
Un petit livre qui se dévore en une soirée ou deux. Martine Desjardins démontre ici sa parfaite maîtrise des codes de la littérature fantastique et combine habilement le tout avec des éléments clés de notre folklore.
L'histoire se passe dans une région du Québec frontalière des États-Unis, où se trouve une érablière dont le sirop d'érable possède des vertus magiques. Guillaume, citadin exemplaire, se retrouve dans ce milieu rural dans lequel il ne se reconnait pas. Pourtant, une étrange transformation s'opère en lui au contact de son grand-père et de ses oncles. Et ce sirop, au goût si particulier, aux effets si étranges...
Le vocabulaire riche et précis rendent la plume de Desjardins agréable et somptueuse, les passages qui parlent des érables et de l'acériculture notamment, sont à la fois pertinents et instructifs.
C'est une autrice que je vous invite aussi à découvrir dans La chambre verte (2016) et Maleficium (2009), deux autres de ses romans tout aussi fantastiques que j'ai adorés. Et je réalise que son Méduse, paru en 2020, est passé sous mon radar ; il faudra que je corrige cet oubli éventuellement, c'est une autrice que j'ai chaque fois beaucoup de plaisir à lire.
Le temps des sucres - Martine Desjardins - Alto - 2025 - 145 pages
26 août 2025
Voyage à la villa du jardin secret - J.P. Chabot (avec l'aide d'Audrey-Ann Bélanger) - Le Quartanier
On comprend à la lecture que le récit tourne autour de la vie d'une handicapée, frappée par une maladie dégénérative, l'ataxie de Friedreich. Le narrateur, qui enseigne au collégial, a rencontré Audrey-Ann dans une de ses classes et s'est lié d'amitié avec elle. C'est le récit de cette amitié, basée sur l'entraide, la compassion et surtout la compréhension, qui nous est livrée dans ce roman.
Mais ce qui retient surtout l'attention, c'est la forme du récit, très postmoderne, ce qui est souvent le cas des ouvrages publiés au Quartanier. Le texte mélange les niveaux chronologiques. Les protagonistes enregistre leur lecture du récit initial, et les commentaires de cette lecture se superposent à ceux qui apparaissent déjà dans l'enregistrement, ce qui pourrait causer une certaine confusion chez le lecteur moins attentif. Cela est surtout visible dans les premières pages du livre, quand l'auteur essaie de rendre compte des hésitations dans l'élocution d'Audrey-Ann et de son incapacité parfois à bien comprendre ce qu'elle dit. Cela se traduit graphiquement par des ratures ou l'utilisation de certains symboles qui pourraient agacer certains lecteurs, puisque ce code ne sera expliqué que plus loin dans le livre. Mais ce procédé reste occasionnel dans le texte et ne gêne pas la lecture outre-mesure.
Le récit mélange aussi les genres. Si l'essentiel du livre relève du témoignage proche de l'autobiographie, des moments précieux de cette amitié sont racontés de façon très touchante, très humaine, il y a aussi une partie importante qui s'approche plus de l'essai. Le narrateur nous transmet les résultats de ses lectures théoriques et de sa réflexion sur la place que les handicapés occupent dans notre société et la vision que les "normaux" peuvent en avoir.
Cette réflexion sur l'inclusion, très fouillée, le livre comporte d'ailleurs en annexe une bibliographie de quelques pages, amène le lecteur à se questionner sur son propre rapport à ces personnes que l'on a trop souvent tendance à juger facilement ou à exclure. Certains passages m'ont paru peut-être trop appuyées, trop théoriques, j'ai trouvé que cela alourdissait parfois le rythme. Mais ces passages révèlent le désir profond du narrateur de comprendre la réalité de son amie et prouve le sérieux de son investissement dans sa quête.
Ce qui m'a surtout intéressé dans cette oeuvre, d'un point de vue très personnel, c'est toute cette réflexion sur la maladie et la dégénérescence des corps. Tous les corps sont condamnés à dépérir, et nous devrons tous vivre avec cette perte, plus ou moins lente selon les individus, de nos facultés. De ce point de vue, le roman illustre très bien les réactions et les interrogations auxquelles nous serons éventuellement confrontés.
16 août 2025
La beauté de Cléopâtre - Mustapha Fahmi
C'est
toujours un plaisir pour moi de lire la plume de Mustapha Fahmi.
Ses
trois livres sont de petits bijoux de réflexion qui s'articulent autour de
pièces de l'oeuvre de Shakespeare,
dont l'intellectuel est un fin connaisseur. Ses livres sont toujours composés
de courts chapitres qui, aboutés les uns aux autres, finissent par tisser le
fil d'une réflexion savamment construite. Un découpage qui nous permet de
ralentir, de prendre des pauses fréquentes, pour bien réfléchir aux idées qui
sont exposées.
À travers les commentaires du professeur de l'UQAC
sur la pièce Antoine
et Cléopâtre, le propos dérive sur des thèmes comme l'authenticité, l'honneur,
l'éthique
ou la beauté. Malgré des références philosophiques et littéraires très pointues
(les
romantiques allemands et anglais, Davie
Hume, Nietzsche
et Kant
entre autres), le propos reste facilement accessible et le texte nous guide
habilement dans l'élaboration de la pensée de l'auteur.
En plus d'un condensé de l'histoire
romaine, notamment le conflit qui oppose Marc-Antoine
et Octave, le fils de César,
des références culturelles variées et bien dosées (Boticelli,
Titien,
Zaha
Hadid, Frank
Gehry, Miles
Davis, Beethoven,
Wittgenstein...)
appuient habilement la démonstration et on sort de notre lecture avec
l'impression d'être un peu plus allumé, sinon un peu plus intelligent.
Un bijou de petit livre, que j'aurai plaisir à revenir feuilleter de temps à
autre, pour y puiser quelques phrases au hasard avec plaisir comme celle ci-dessous.
Les deux précédents livres de Fahmi, La leçon de Rosalinde (2018) et La promesse de Juliette (2021), parus aussi chez La peuplade, m'avaient aussi beaucoup plu.
2 août 2025
La Méduse - Boum - Pow Pow
L'histoire d'Odette est touchante. On assiste, en l'espace de quatre saisons, à l'évolution des troubles visuels dont souffre la jeune libraire. Le récit simple présente habilement les effets de la progression physique et psychologique de la cécité, réalité dont on entend peu souvent parler.
Le traitement se révèle aussi profondément original. Les dessins sont clairs et précis et rappellent un peu le style des mangas. Le découpage et le cadrage sont variés, l'autrice maîtrise bien les différentes techniques (gros plan, champ-contre-champ) pour rendre plus dynamique son récit. L'oeuvre, imprimée en noir et blanc, exploite bien les dégradés et les jeux d'ombre et de lumière. Tout cela crée une impression d'intimité qui nous rapproche du drame vécu par le personnage principal et illustre bien toute la gamme d'émotions qu'elle traverse.
Et cette fameuse méduse, cette tache noire qui pollue chaque case et se multiplie au fil des planches... cette présence envahissante nous permet de bien saisir l'intensité et la persistance du problème qui affecte l'humeur d'Odette et va changer sa vie.
Vraiment, une superbe lecture.
28 juillet 2025
La grosse laide - Marie-Noëlle Hébert
Avec ses superbes dessins crayonnés, cette BD mérite toute l'attention qu'on lui a accordée (prix des libraires 2020). Le jeu d'ombres rend vraiment bien toute l'intensité du drame qui se joue dans la vie de la jeune narratrice du récit.
Les commentaires désobligeants du père sur l'apparence physique de la jeune fille, "grosse torche", "grosse truie", accentuent sa dysphorie corporelle. Nous assistons à toute la détresse psychologique qui découle de ces commentaires. Malgré le sujet qui pourrait être lourd, la BD reste agréable à lire, car il y a aussi de beaux moments de bonheur qui viennent contrebalancer l'ensemble. Et tous ces sentiments sont admirablement rendus dans la multiplication des gros plans du visage de la narratrice.
Le découpage du scénario est parfois lent, mais ce n'est pas un défaut, loin de là. En prenant le temps de s'attarder aux détails, les cases donnent une profonde impression d'intimité et procurent au récit une certaine douceur poétique.
C'est un roman graphique très réussi, qu'on prend le temps de découvrir avec lenteur.
Je regrette une seule chose, l'exemplaire que j'ai lue comportait des problèmes de surimpression qui nuisaient à la lecture. Si vous achetez la BD, vérifiez les pages 81, 85 et 86, pour vous assurez de ne pas avoir le même problème.
Sinon, c'est une BD qui mérite vraiment de figurer dans toute bonne bibliothèque.
La grosse laide - Marie-Noëlle Hébert - XYZ - 2019 - 104 pages23 juillet 2025
15 juillet 2025
Le pingouin - Andreï Kourkov
Premier roman d'Andreï Kourkov, écrivain ukrainien de langue russe, qui connut dès sa publication un succès international. C'est aujourd'hui un auteur très populaire qui a notamment remporté le prix Médicis étranger en 2022 avec Les abeilles grises, dont la trame s'insipire en partie du conflit opposant la Russie et l'Ukraine.
C'est la prémisse étrange du livre qui m'a d'abord attiré. Victor Zolotarev, un écrivain raté, héberge dans son petit appartement de Kiev un pingouin qu'il a adopté, on ne sait trop pourquoi, du zoo local. Pour gagner sa vie, Zolotarev accepte un contrat suprenant d'un journal, on lui demande d'écrire la notice nécrologique de personnes encore vivantes selon des indications précises. La publication de ces "petites croix", comme il les appelle, aura des impacts étonnants.
Les situations absurdes s'accumulent ainsi pendant tout le récit, sans que le personnage s'en étonne pour autant. On lui a dit de ne pas poser de questions, on le paie très bien pour son travail, il se contente alors de répondre aux exigences de son patron sans plus.
Les situations sont cocasses et étonnantes, on aurait pu s'attendre à un récit plus échevelé, plus humoristique, mais finalement la vie de Zolotarov, malgré tous ses rebondissements, se révèle plutôt routinière. Le personnage éprouve peu de sentiments et reste détaché de sa propre vie, ce qui relève évidemment aussi de la construction absurde du livre.
Le roman se lit bien, les chapitres sont courts et l'efficacité du récit reposant notamment sur l'accumulation d'événements bizarres font sourire et nous entraine à poursuivre toujours plus loin notre lecture. Et à la fin, dans un dénouement très bien ficelé, on nous dévoile (même si on l'avait un peu deviné auparavant) toutes les coulisses derrière la publication des "petites croix".
Peut-être pas une lecture aussi légère qu'anticipée, mais une lecture qui reste agréable et divertissante.
Le pingouin, Andreï Kourkov, Liana Levi éditeur, 273 pages, parution originale 1996.
10 juillet 2025
Nouvelle acquisition
Les deux premières œuvres de Claude Simon
enfin rééditées aux Éditions de Minuit !
Comme j’ai fait mon mémoire de maîtrise sur son roman « L’acacia », j’ai déjà lu l’intégralité de son œuvre (dont j’ai acheté les deux tomes de La Pléiade), il me restait à lire ces deux romans que je me suis procuré aujourd’hui.
Claude Simon (1913-2005), auteur français souvent associé au Nouveau roman, a remporté le Prix Nobel de littérature en 1985. Son roman le plus connu est La route des Flandres (1960), mais si vous voulez plonger dans son oeuvre, je ne vous conseille pas de commencer par ce livre, essayez plutôt Histoire (1967), Les Géorgiques (1981) ou L'acacia (1989) qui sont plus "accessibles".
L'écriture de Simon, réputée assez difficile, faite de longues phrases comprenant parfois de longues parenthèses qui s'étirent sur plusieurs pages, demande une certaine concentration, mais après quelques pages, on s'habitue au rythme.
Simon est un témoin privilégié du XXe
siècle : son père est disparu pendant la Première Guerre mondiale, il a
participé aux troubles en Espagne dans les années 30 et il était dans la
cavalerie française pendant la Seconde Guerre mondiale.
9 juillet 2025
La cité oblique - lecture en cours
26 juin 2025
Lecture en cours
Après avoir lu son recueil sur la création, j'ai eu le goût de découvrir la plume de l'autrice américaine. Ce livre, encensé par Ophra Winfrey à sa sortie en 1996, est un de ses plus connus.
Le roman raconte, comme souvent chez Oates, un drame qui va bouleverser la dynamique relationnelle d'une famille apparemment parfaite de l'état de New-York après un événement tragique survenu pendant la nuit de la Saint-Valentin 1976.
C'est une vaste fresque de l'Amérique profonde, qui s'étire sur plus de vingt ans, qui nous permet de suivre l'évolution de chaque membre de cette famille tourmentée.
Un roman terriblement d'actualité, en cette ère Metoo, qui encourage les femmes à dénoncer leurs agresseurs.
Nouvelle acquisition
Nouvelle acquisition, recherche pour le roman à venir sur l'usine de Port-Alfred.
23 juin 2025
Lecture en cours - littérature québécoise - essai
Des entretiens avec de grands créateurs, ça m'intéresse toujours. Et Lise Gauvin est au Québec une référence incontournable en la matière.
Ici, on retrouve notamment de longs entretiens avec quelques géants de notre littérature, Gaston Miron, Marie-Claire Blais et Anne Hébert... un ouvrage essentiel pour ceux et celles qui s'intéressent aux arcanes de la création et à la figure du créateur.
19 juin 2025
18 juin 2025
Achats imprévus
Le hasard fait bien les choses, comme je suis en train de rattraper mon retard dans l'oeuvre d'Édouard Louis (voir mes lectures récentes), quand j'ai aperçu la version économique de ce livre paru l'an dernier, j'ai sauté dessus. Il me restera à lire L'affrontement, le livre qu'il consacre à son frère alcoolique mort à 38 ans et qui devrait être, selon ce qu'il dit, le dernier ouvrage qu'il consacre à son histoire familial.
Il y a longtemps que je voulais lire le fameux bestiaire de Borges, mais je n'avais jamais eu l'occasion de mettre la main dessus. Avec le livre de Guy Bertrand, ça fera deux bons ouvrages à lire à petites doses sur le trône de céramique.
17 juin 2025
13 juin 2025
Lecture en cours - création littéraire
12 juin 2025
Nouvelles acquisitions
La réception dithyrambique du nouveau roman de l'écrivain québécois Philippe Yong m'a vraiment donné le goût de me procurer ce livre, qui semble pas mal correspondre à mes goûts, notamment par la thématique du décrochage numérique.
Le nouveau Marie-Andrée Gill est un incontournable pour moi, ses précédents recueils -Béante (2012), Frayer (2015) et Chauffer le dehors (2019) - sont de petits bijoux, je ne doute pas que celui-ci sera à la hauteur. Et bel adon, juin est le mois pour découvrir la littérature autochtone. N'hésitez pas à visiter vos librairies indépendantes, plusieurs ont mis en valeur les livres de ces auteurs souvent méconnus.
Le livre de Heinich est une réédition, mais je ne l'ai jamais lu. Les entrevues avec plusieurs créateurs qui parlent de leur processus rejoindront sûrement mes intérêts.
10 juin 2025
Lecture en cours - littérature française contemporaine
Roman léger et agréable. L'histoire d'une coiffeuse qui entreprend la lecture d'un livre oublié par un de ses clients.
Cette lecture changera sa vie amoureuse et professionnelle et son coup de coeur nous donnera le goût de lire ou de relire ce grand classique de Proust. Ayant été moi-même profondément bouleversé par ma lecture de l'intégrale de La recherche du temps perdu (2400 pages dans l'édition Quarto) à l'occasion d'un cours que je suivais à l'UQAM en 2010, j'ai évidemment accroché aux émotions ressenties par Clara.
En le lisant, je faisais contamment une association entre Clara et Amélie Poulain.
Pour lire le premier volet de la Recherche
Si vous êtes un peu fou et que vous voulez plonger dans l'intégrale :
Lecture en cours - classique
J'ai déjà lu une grande partie de l'oeuvre de Charles Baudelaire, autant sa poésie que ses critiques d'art, je l'ai même très souvent enseigné, « L'ennemi » et « L'horloge » sont des incontournables dans mes cours de littérature française.
Après avoir réussi à dénicher un exemplaire de seconde main de son oeuvre publiée dans La Pléiade, je me suis donné comme défi de la redécouvrir avec tous les commentaires critiques qui accompagnent toujours cette collection. Neuf, ce genre de livre coûte plus de 125 $, on trouve parfois des trucs intéressants sur les sites de revente.
Sinon, il y a toujours la version dans la collection Poésie de Gallimard, qui est assez complète aussi.
9 juin 2025
La littérature québécoise vient de perdre
une autre de ses importantes voix, je viens d’apprendre que le grand
Victor-Levy Beaulieu (1945-2025) est décédé.
Son oeuvre immense vaut vraiment le détour
et constitue une des explorations formelles les plus originales de notre
littérature. Les oeuvres qu'il consacre aux grands écrivains qui l'ont
influencé, mélange d'essais biographique et autobiographique et de fiction,
sont des incontournables à mon avis, mais ses romans sont aussi de profonds
électrochocs.
JamesJoyce, l'Irlande, le Québec, les mots
26 avril 2025
Nouvelles acquisitions
Je m’étais promis de ne pas racheter de
nouveaux livres avant d’avoir épuisé ma réserve de littérature québécoise, mais
je n’ai pas pu résister à ceux-là. Je vous en reparlerai éventuellement.
La dèche avec une couverture signée Marc Séguin
Petite nature de Perrine Leblanc dont j'ai adoré les trois premiers romans.
Le
temps des sucres de Martine Desjardins, une autrice toujours
surprenante.
6 avril 2025
La part de l'océan - Dominique Fortier
Dominique Fortier est une autrice et
traductrice dont la réputation n'est plus à faire au Québec. Ses oeuvres
ont été maintes fois et nomination pour des prix et elle a déjà reçu des
reconnaissances prestigieuses pour son oeuvre (Gouverneur général, Renaudot de
l'essai).
Pour son dixième livre, encore une fois,
elle réussit à nous séduire en mélangeant (un peu comme Victor-Lévy Beaulieu
avec son Melville) la fiction et l’essai pour nous plonger
dans les arcanes de la création littéraire. Ce faisant, elle nous donne le goût
de lire (ou relire) Moby Dick, ce grand classique de la littérature
américaine.
Chaque fois que je lis Fortier, l’étendue
de ses connaissances encyclopédiques et linguistiques me surprend et je ressors
de ma lecture avec l'impression d'être plus intelligent.
La
part de l'océan (2024) - 328 pages - Alto
22 mars 2025
20 mars 2025
Prix Adrienne-Choquette 2025
Ce livre, qui vient de remporter le prix Adrienne-Choquette du meilleur recueil de nouvelles québécois de l'année, m'intrigue, c'est un titre à découvrir. Je l'ajoute à ma liste de lectures à faire.a
Cochoncetés - Étienne Goudreau-Lajeunesse - Boréal, 152 pages
15 mars 2025
22 février 2025
21 février 2025
20 février 2025
19 février 2025
L'effet de la pluie poussée par le vent des bâtiments - Patrice Desbiens
L'effet de la pluie poussée par le vent des bâtiments - Patrice Desbiens - Mains libres - 2024 - 72 pages
14 février 2025
7 février 2025
2 février 2025
27 janvier 2025
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Avec ses superbes dessins crayonnés, cette BD mérite toute l'attention qu'on lui a accordée (prix des libraires 2020). Le jeu d'...
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Premier roman d'Andreï Kourkov, écrivain ukrainien de langue russe, qui connut dès sa publication un succès international. C'est auj...
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Encensé par la critique et déjà récompensé par plusieurs prix (Prix des libraires 2024, Grand Prix Québec BD Bédéis causa 2023 et Prix BD de...